LONGCHAMP D’INCULTURE

Lancement d’un sac née d’une collaboration spéciale « Longchamp » qui sera disponible non seulement pour les fans en Chine mais aussi dans le monde entier. Quelle chance ! Le sac est pliable en cuir d’agneau plongé dans le bain de l’Attila de l’élégance, et en ajoutant une signature xyloïdique, une empreinte de pattes ‘Chino-Autri-chien’, signe de reconnaissance pour l’année de l’Empire du Milieu, comme un appel aux chiennes : le ronron habituel des marques de luxe qui confondent ferveur plébéienne et luxe aristocratique. Heureusement, en vente, seulement en Chine continentale.

De nombreuses demandes de la part de magasins aux États-Unis et en Europe, car les incultes et les sans goût sont maintenant partout sur la fashion globosphère.

Un sac à ‘papattes’ très populaire sur le « We Chat ». Un grand fourre-tout qui comporte une poche zippée supplémentaire à l’arrière pour contenir le téléphone de la Vicomtesse du Touchet-Rectale, d’une taille suffisante pour « un baise-en-ville », pratique ! Moi, je baise tout ce qui bouge me confie la Vicomtesse et, vous ? me demande-t-elle ? Moi ! Je ne bouge pas une oreille. De chien, bien-sûr !


Une giberne très cabot pour tirer un coup, réalisée par un chinetoque, plus toque que chine, un prétexte pour faire fabriquer ce « Bagasse » au confluent du Yang Tsé, entre le « Tian et le Anmen ». Les locaux pourront s’adonner à leur passion, la cynophagie que l’on retrouvera au menu des restaurants banchés de « Chien-ghai » une musette, qui va certainement valser sur les rayons.

Anonymode

Commentaires

Articles les plus consultés